Commission |
Réunion au Trianon le 11 juillet 2012, avec les membres du CA. Tout le monde est présent. Au
point 10 : La date limite pour l’envoi des manuscrits est fixée au 28
février 2013… Point11 :
devient : Les manuscrits ne seront pas retournés. Les
inspecteurs de leur côté n’ont plus pouvoir de décision, ils transmettent
seulement leurs observations aux conseillers pédagogiques. Réunion à Champion le
26/03/2011 un relevé des textes pour enfants établir aussi quelques règles d'orthographe!! En vue de concocter un petit manuel genre
publicitaire amusant avec illustrations du Wallon à l'école Quid de la Fondation Van Crombrugghe pas d'étudiant?, un prix pourrait être attribué ? Viser plutôt les 10/15 ans ? Questionnaire à rédiger par Christian propositions de questions : pour les troupes de théâtre ,les écoles ,les personnes ressources , 1. Que faites -vous avec vos jeunes
talents?et qui les dirige? A rentrer pour fin avril
Monique fera le rapport qui reprend les différentes propositions de questions pour le questionnaire Christian Robinet le composera et
transmettra aux membres de la commission qui ensuite feront suivre dans
les 5 fédérations aux responsables des jeunes dans les troupes ou aux
enseignants , ou aux personnes ressources intéressées par le Wallon des
jeunes !! Réunion à Champion le 5 septembre 2009 Marcel Slangen note que nous sommes arrivés à la fin de la transmission intrafamiliale. Joseph Bodson insiste sur le fait que le wallon ne doit pas être considéré comme un ornement placé sur la cheminée, mais que l’usage, comme en français, devient prépondérant. Christian Robinet évoque à ce propos le Dictionnaire wallon-français à l’usage des habitants de la province du Luxembourg de Dasnoy. C’est ainsi que l’on est souvent en présence, en poésie wallonne, d’un hyperclassicisme. Egalement d’un désir de pureté excessive de la langue. Marcel Slangen : les wallons peuvent s’enrichir l’un l’autre, en adoptant des termes des langues voisines. Il évoque à ce propos les réactions au r’fondu, tout en lui reprochant les créations personnelles de mots nouveaux. Il faut d’autre part prendre position sur le côté obligatoire ou non. Il faut donc avoir une politique globale, fixer des limites, délimiter de grandes zones. On aura intérêt à prendre les régions classiques. La langue se crée en se parlant, en se vivant. Ainsi, le théâtre s’écrit en wallon liégeois dans une large zone autour de Liège. Il fait enfin remarquer que Feller avait écrit : Mes successeurs se chargeront de…, laissant ainsi une marge d’interprétation. Pour le secondaire, note Christian Robinet, il faut le faire entrer dans la grille horaire, et, d’autre part, se baser sur l’oral, l’expression théâtrale. Il nous faudrait créer des outils, convaincre des éditeurs. Le mieux ne serait-il pas de demander un entretien au ministre de l’Education, et de lui demander l’inscription d’un cours de culture régionale dans le primaire et le secondaire. Il faut apporter des outils pédagogiques Les décrets Urbain n’ont jamais reçu d’arrêtés d’application. On en vient ensuite au projet de formation des maîtres, où il serait nécessaire de réactualiser le projet du CRIWE, et voir ce qui se fait à Charleroi, dans le Luxembourg. Faire un relevé de ce qui existe, où et comment former les maîtres. Liège a l’avantage des cours du mardi soir. Les gens compétents et disponibles sont rares. Marcel Slangen évoque des gens de théâtre qui s’y sont essayés, comme Henri Renard de la troupe de Pousset. Mais le fait devient rare, et beaucoup d’enseignants sont dégoûtés de l’enseignement. D’après les ouvrages des linguistes, continue-t-il, la seule façon de sauver une langue en difficulté, c’est par l’école. On évoque Israël, l’Irlande. L’apprentissage d’un autre
système linguistique est un enrichissement. Réunion à Champion le 10 octobre 2008-10-16 Présents : Christian Robinet, Janine Hansenne, Marcel Slangen, Joseph Bodson. Marcel Slangen : le projet qui a été le plus loin couvrait toute la Wallonie ; il s’agissait d’un projet de formation des maîtres, il y a une dizaine d’années. Il y eut une série de formations à Li ège, qui s’adressèrent à une dizaine d’instituteurs. C’est un projet qu’il s’agirait de réactualiser. Il y a actuellement un projet du CRIWE pour la formation continuée des maîtres ; un projet de contrat long, budgétisé. Question de Christian Robinet : qui assure la formation ? Marcel Slangen : Il y a urgence. Les gens disponibles et compétents deviennent rares. Quand on a repris une formation de cinq jours, ils étaient trois pour la donner. Depuis lors, Jean Van Crombrugghe et Josserand sont décédés. Ils sont difficiles à remplacer. Il faut des gens qui ont un diplôme d’enseignement de base+ la connaissance du wallon. Janine Hansenne : en primaire, ce qui intéresse les enseignants : avoir de la matière, et pouvoir s’en servir. Il faut surtout pouvoir parler. A Charleroi, au CHADWE, on a créé des outils pédagogiques. Ainsi, Tchansons pou nos-èfants. Des chansons, des jeux que nous avons créés nous-mêmes, qui sont vendus au prix de 10€, avec chaque fois un CD qui accompagne la brochure. exemple : Walloto. Joseph Bodson rappelle un concours qui eut lieu pour le 10e anniversaire du Brabant wallon : les enfants devaient chercher des noms de lieux d’origine wallonne, en trouver le sens en s’adressant à des personnes âgées. Marcel Slangen : il faut avoir quelqu’un qui peut répondre… Janine Hansenne :…et avoir assez de documentation. Christian Robinet : L’ UCW devrait produire un ouvrage qui pourrait comprendre : - Pourquoi et comment le
wallon à l’école ? Une déclaration d’intention. Marcel Slangen : Il
faut constituer une base, définir une stratégie pour le jour où l’on
sera en face des responsables politiques. |